En 1980, Sant Darshan Singh ji a inauguré la 1re fête des Maîtres. Il dit avoir été impressionné avec la tradition occidentale d’honorer ses parents. Si nous célébrons nos parents, la prochaine étape serait d’honorer nos enseignants, nos Maîtres, nos gurus. Observant que la fête des Mères était célébrée le 2e dimanche du mois de mai et la fête des Pères, le 3e dimanche de juin, Maharaj Ji a proclamé le 4e dimanche de juillet étant la fête des Maîtres. De plus cette année de 1980 concordait au 27 juillet (1858-1948), l’anniversaire de son propre Maître, Hazur Baba Sawan Singh Ji Maharaj.
« J’ai sincèrement à cœur que l’on célèbre la fête des Maîtres à travers le monde » a-t-il dit en ajoutant : « Nous célébrons l’anniversaire de Guru Nanak, Jésus, Zoroastre, Mahavira et Bouddha, ainsi que plusieurs autres journées spéciales en leurs honneurs. Toutefois, ces célébrations se pratiquent essentiellement dans la religion ou la nation de chacun d’eux ; aucun n’est célébré internationalement. Je souhaite, qu’en plus des nombreuses célébrations de ces saints, nous commencions à célébrer la fête des Maîtres, une journée pour nous tous autour de la planète, en consacrant un jour en prière à notre propre Maître... »
« Je prie pour que tous les enfants de tous les pays du monde considèrent cette idée. Lorsque je dis les enfants, je parle des enfants de Dieu sans les limiter à un groupe d’âge. Le jour de la fête des Pères, les personnes de 70 et 80 ans célèbrent leurs pères centenaires. Si une personne, à cet âge avancé, peut célébrer ses parents lors de la fête des Pères ou de la fête des Mères, nous pouvons certainement tous célébrer la fête des Maîtres. Cela est mon humble prière et j’espère que tous mes fils et toutes mes filles transmettront ce message tout autour du monde. »
(Provenance : Sat Sandesh anglais de juin 1980, en page 17.)
Lorsque Sant Darshan Singh Ji visitait, lors d’une de ses quatre tournées mondiales, un pays occidental, Il invitait les leaders spirituels environnants pour partager cette unique journée et inévitablement, ils révisaient tous leurs propres enseignements.
Référence : « Divine Darshan » de Sharan Malhotra, chapitre 28.